Une chaîne sur TonTube !
L’association Les Artistes Aux Petits Soins a décidé de lancer
une chaîne sur YouTube :
« La bande à beaux nez »
Ce sont de courtes vidéos (ou feuilletons d’ordinateur) sur la vie de 4 clowns en dehors de leurs interventions dans les établissement en milieu de soins.
Voici la première saison.
Episode 1
La bande à beaux nez se réveille.
Un peu cintrés mais prêts !
Episode 2
La bande à beaux nez ripaille.
En chantant « l’amour est un oiseau rebelle », les papilles gustatives aiguisées, nos clowns sont sur le point de se délecter.
La bande à beaux nez fait son cinéma.
Les clowns ambitionnent de déposer leur candidature au CNC (Centre National Cinématographique) afin de continuer à réaliser des vidéos (feuilletons d’ordinateur), toutefois pour être éligible, ils vous l’expliquent.
La bande a beaux nez joue aux questions réponses.
Un quiz sur la mission de l’asso les Artistes aux Petits Soins et son fonctionnement…
Le petit plus
Mais qu'est-ce que c'est?...
Si vous avez aimé nos vidéos, merci de vous abonner sur YouTube :
Nous serions réjouis de poursuivre les vidéos, nous aspirons à être payé et nous souhaitons déposer une demande au CNC (Centre National Cinématographique) pour avoir un coup de pouce financier… Un rêve à réaliser car nous devons avoir minimum 10.000 abonnés sur la chaine YouTube pour prétendre à être éligible pour déposer notre candidature.
Cependant si vous souhaitez nous aider financièrement, c’est par ici :
Par ailleurs, nous sommes ouverts à toute proposition de collaboration avec des producteurs.
Merci du fond du cœur pour être une part précieuse de cette aventure.
« Lorsqu’un enfant naît, ses parents s’empressent de le faire rire, en lui faisant des grimaces. Pourquoi ? Parce que, au moment où il rit, cela signifie que l’intelligence est née. Il a su distinguer le vrai du faux, le réel de l’imaginaire, la grimace de la menace. Il a su voir au-delà du masque. Le rire libère l’homme de la peur. Tout obscurantisme, tout système de dictature est fondé sur la peur. Alors, rions ! ».
Dario Fo